Depuis plusieurs années, le peuple iranien se débat dans des crises économiques, conséquence du comportement du régime iranien actuel sous la direction du Guide suprême Ali Khamenei. 

Le régime s’immisce dans tout à cause de son contrôle sur les ressources du pays, et ces dernières années, il s’est adonné au vol en Iran.

Malgré les sanctions américaines imposées au régime des mollahs, qui ont appauvri le pays et son peuple, le régime a finalement pris le contrôle total des affaires de l’État.

Cela a été confirmé par des allégations de corruption au sein du régime, notamment par le Guide suprême Ali Khamenei lui-même, accusé de manipuler le taux de change du dollar américain en Iran.

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Vol et pillage du peuple iranien

La chaîne de télévision Iran International a révélé la corruption ouverte du régime après que les États-Unis ont annoncé leur retrait de l’accord nucléaire iranien et l’escalade ultérieure du taux de change du dollar en 2017. 

Le bureau de Khamenei a envoyé un message à la banque centrale demandant que le dollar américain soit valorisé à 5 000 tomans.

Depuis 2018, le toman est resté proche du taux fixé par Khamenei, malgré les multiples tentatives du gouvernement pour le réduire à 3 800 tomans, ce que certains considèrent comme une intervention lourde et préjudiciable du Guide suprême.

Khamenei a refusé de prendre la responsabilité des décisions économiques à plusieurs reprises, notamment en ce qui concerne la hausse du prix de l’essence, mais son ingérence, ainsi que celle de son bureau, dans les décisions économiques est une pratique courante au sein du régime iranien.

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Il est également intervenu dans l’interdiction d’importer des appareils électroménagers sud-coréens et a insisté sur l’autosuffisance, malgré les restrictions environnementales. Khamenei a ordonné la relance d’une race de poulets, ce qui est considéré comme une intervention directe dans la planification économique et la prise de décision.

Imposition de droits de douane élevés

Le soutien de Khamenei aux entreprises de fabrication automobile lors de sa visite à une usine de voitures iranienne a conduit à l’imposition de droits de douane élevés sur les importations de voitures et à l’interdiction des importations. Cependant, les troubles sur le marché automobile et dans l’industrie, ainsi que les conséquences de la monopolisation des entreprises de fabrication de voitures, ont poussé Khamenei à changer son approche à leur égard.

L’année dernière, Khamenei a critiqué la qualité des voitures fabriquées localement et les entreprises automobiles, en déclarant : « Malgré tout le soutien accordé au secteur de l’industrie automobile au fil des ans, les voitures ne sont toujours pas bonnes, et les citoyens ne sont pas satisfaits. »

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Les responsables et les conseillers du département d’État américain ont accusé le régime iranien de mener une campagne pour lever les sanctions afin de fournir des fonds aux dirigeants du régime pour soutenir le terrorisme par le biais de milices dispersées dans la région, plutôt que de lutter contre la propagation du coronavirus dans le pays.

Le conseiller du département d’État américain, Len Khodorkovsky, a considéré que les responsables du régime iranien voulaient lever les sanctions pour mettre en œuvre leurs propres agendas, partageant une image sur son compte Twitter montrant le Guide suprême Ali Khamenei assis sur une pile de dollars empilés.

Il a écrit : « Khamenei est littéralement assis sur des milliards de dollars. Je demande aux dirigeants du régime : combien de sa richesse, qui ne se trouve pas dans son compte personnel et qui a été volée au peuple iranien, a-t-il dépensé pour lutter contre le coronavirus ? »