Grand Maghreb

Fin douloureuse pour les Frères en Tunisie – Des demandes de dissolution du mouvement Ennahdha après l’arrestation de Ghannouchi


Le mouvement Ennahdha s’est trouvé dans une situation extrêmement difficile après le renversement des forces de sécurité tunisiennes et l’arrestation du dirigeant Ennahdha, Rached Ghannouchi, après autorisation judiciaire, pour une affaire concernant des déclarations incendiaires qu’il avait faites, en attendant que des mesures soient prises.

Guerre civile

Ghannouchi aurait fomenté une soi-disant « guerre civile » en Tunisie; L’arrestation est réclamée par les forces de sécurité tunisiennes, alors que la Tunisie revendique la dissolution du mouvement terroriste Ennahdha pour sa participation à de nombreux crimes terroristes.

Un état de décadence

Le politologue tunisien Oussama Aouidet dit que depuis le mouvement du 25 juillet, avec l’ajout du sursis de Rached Ghannouchi, qui est dans un état de flagellation, pour avoir déclaré la guerre civile en Tunisie, c’est un concept judiciaire qui est un état de flagrant délit, pas un cas de flagrant délit, ainsi que les fichiers pesants qui suivent cet homme et son parti ou les Frères de Tunisie depuis l’assassinat des chefs, en plus de la responsabilité politique et de la situation économique que la Tunisie a connue pendant dix ans.

Il a ajouté : « Tous ces dossiers se dressent maintenant contre l’homme et il sera tenu pour responsable d’abord judiciaire et d’abord réglementaire; il a expliqué que les Frères n’ont plus de place en Tunisie; cette suspension politique reconnaît que les Frères ont expiré en Tunisie et aussi qu’ils ont été scandalisés par le peuple tunisien.

Dissolution du mouvement Ennahdha

Il est urgent de prendre des mesures immédiates pour mettre fin à ce mouvement de Frères qui est accusé de nombreux crimes terroristes qui doivent être résolus et dont les activités politiques doivent être interdites à jamais, d’autant plus que ses membres sont impliqués dans plusieurs affaires liées au terrorisme, aux assassinats politiques et à la réception de fonds de l’étranger, ce qui est contraire à la sécurité du pays.

Les partis tunisiens accusent Ennahdha de soutenir le terrorisme durant son règne après 2011, incitant les jeunes dans les mosquées et les réunions spéciales à rejoindre les groupes terroristes en Syrie, tout en participant à l’ambassade de jeunes de centaines d’associations religieuses tunisiennes associées à Ennahdha, où des douzaines d’entre elles ont été dissoutes après qu’elles aient été reconnues coupables d’actes terroristes.

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