Des tentatives infructueuses: Le mouvement d’Ennahdha poursuit ses plans pour alimenter le conflit tunisien
Après la débâcle du mouvement Ennahdha en Tunisie, ses partisans cherchent à aggraver la situation en Tunisie en appelant à nouveau au chaos et à la subversion par des appels au soi-disant « Front de salut national » – l’un des bras terroristes des Frères musulmans, ce que beaucoup considèrent comme de nouveaux complots orchestrés par eux pour faire tomber le pays dans le chaos.
L’escalade des manifestations
Selon un rapport de Roaya Network, le front cherche à rétablir le contrôle du groupe terroriste des Frères Musulmans sur le pays, Ennahdha étant le chef de file de ce groupe pour organiser des manifestations et amplifier les manifestations en affirmant qu’il y a une colère populaire contre le Président Kaïs Saïed, alors qu’en fait, le peuple tunisien ne reviendra pas dans le cercle d’Ennahdha et les Frères une fois qu’il s’en sera débarrassé.
Le Front de salut national d’opposition a annoncé son intention d’organiser une manifestation de protestation majeure le 14 janvier, selon le président Ahmed Néjib Chebbi.
Nouvelle couverture
Oussama Aouidet, analyste politique tunisien, affirme que le Front de salut national est un nouveau nom pour les Frères de Tunisie, après que le peuple tunisien a prononcé la parole et déchiré le mouvement Ennahdha lors des élections et avant de le dépouiller de tous ses pouvoirs.
Il a ajouté dans une déclaration que le « Front de salut national » tente de rallier à nouveau le peuple tunisien aux Frères musulmans contre le président Kaïs Saïed, mais qu’il ne réussira pas une fois que les Tunisiens auront goûté à la renaissance des Frères musulmans, particulièrement après le succès de la bataille pour la nouvelle constitution et les élections législatives en Tunisie.
A la demande, les manifestations commémorant la chute du régime de feu le président Zine el-Abidine Ben Ali expriment le rejet de la proposition de Kaïs Saïed, et dénoncent les récentes décisions de traduire en justice plusieurs leaders influents des Frères musulmans pour des accusations de terrorisme, avec à leur tête Ali Larayedh, un ancien ministre de l’Intérieur.