Moyen-Orient

Crimes contre l’humanité commis par les Houthis en 2022 au Yémén- Détails


Les milices Houthis continuent de commettre des crimes et des actes de terrorisme contre des citoyens en sécurité au Yémen pour atteindre leurs objectifs et leurs plans expansionnistes en détruisant et en détruisant le Yémen. Leur nom est associé à l’assassinat, à la ruine, à la torture, aux attentats à la bombe, à l’intimidation et à d’autres crimes contre l’humanité.

Violations graves

Le rapport sur les droits des Houthis sur les crimes commis en 2022, le début de leur émergence et leur confession, les secteurs ciblés et détruits par les milices Houthis, comme la santé, l’éducation, l’eau, les croyances religieuses, les droits des femmes et des enfants, a révélé une série de cas observés et une série de cas divers de meurtres, d’enlèvements, de torture, de déplacements, etc., ont été observés tout au long de 2022.

Le rapport de la Fondation pour le Dialogue pour le développement et les droits de l’homme indique que les violations commises par les milices Houthis contre la population de droite ont causé beaucoup de souffrances et de blessures, que les milices n’ont cessé de répéter et d’aggraver, et que de nombreux crimes ont été commis contre la population de la communauté de droite et qu’elles ont utilisé toutes sortes d’images et de méthodes odieuses pour les appliquer à la société de droite.

Le rapport fait état de plus de 5 119 violations graves des installations sanitaires, des hôpitaux et du personnel de santé dans diverses régions du Yémen entre 2018 et Mars 2022.

Le rapport souligne que le mouvement houthiste vise à rétablir l’ordre public, cherche à séparer le Nord du Yémen du Sud, ne croit pas à l’unité du Yémen et cherche à construire une armée parallèle afin de mettre en œuvre ses plans. Il note que les violations commises par les milices Houthis dans les différents secteurs de la santé, de la liberté de religion et de conviction, du droit à l’éducation, des réseaux et des usines d’approvisionnement en eau ont porté atteinte au droit à l’eau, aux meurtres et à d’autres violations qui ont affecté la vie humaine et porté atteinte à ses droits tels qu’ils sont énoncés dans les conventions et instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme.

Le rapport recommande que les Houthis soient tenus responsables devant les tribunaux pénaux internationaux pour les crimes contre l’humanité qu’ils ont commis, en particulier les dirigeants des Houthis qui ont détruit les institutions de l’État, et que la communauté internationale agisse activement pour imposer des décisions internationales contraignantes aux Houthis.

Communauté internationale

Saeed Abdul Hafez, Président de l’organisation Dialogue Forum, a demandé que la communauté internationale intervienne pour mieux protéger les groupes les plus vulnérables de la société yéménite, à savoir les femmes, les enfants et les personnes âgées, qui sont les plus vulnérables aux violations commises par les milices Houthis.

Il a indiqué que des sanctions sévères devaient être imposées par le Conseil de sécurité si les milices Houthis refusaient d’appliquer les résolutions qui leur avaient été imposées, de poursuivre les transferts d’armes vers le Yémen, d’interdire les armes lourdes et moyennes, de dissuader quiconque le ferait autrement et d’imposer des sanctions aux États qui soutiennent le mouvement houthiste et leur fournissent des armes pour la poursuite des combats.

Il a souligné qu’il importait de mettre en place des mécanismes de justice transitionnelle dans la société yéménite afin d’instaurer la paix et la sécurité et d’édifier une société démocratique, et de créer des commissions de vérité chargées de recenser et de surveiller les violations commises par les Houthis au Yémen, afin de leur infliger des sanctions dissuasives.

Des positions décisives

Ahmed Jabari, analyste politique et judiciaire yéménite, a souligné qu’il fallait lutter résolument contre le groupe Hafithyeh et mettre en place des mesures de protection pour les groupes vulnérables tels que les femmes, les enfants, les personnes âgées et les civils, qui sont les plus vulnérables par des violations constantes des groupes terroristes, soulignant que l’attitude négative de la communauté internationale a conduit à une augmentation des violations de tous les droits de l’homme.

Les Houthis ont expliqué que les Houthis avaient commis une série de crimes de guerre en violation du droit international, des lois nationales, des conventions et des traités internationaux, et qu’il s’agissait de meurtres, de tortures, d’enlèvements, d’arrestations arbitraires et de disparitions forcées, de pose de mines de toutes sortes, terrestres et maritimes.

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