Moyen-Orient

Crimes continus: Les rebelles Houthis poursuivent ses violations terroristes contre la presse et les médias


Le groupe terroriste Houthi continue ses crimes et ses violations contre le peuple yéménite, qui ont atteint le point de violer les droits de l’homme, dans un contexte de condamnation internationale généralisée. Un certain nombre de Yéménites et de ses institutions ont appelé à une action internationale pour lutter contre les crimes terroristes des Houthis.

Silence international

Plusieurs institutions yéménites ont condamné le silence international concernant les enlèvements et les disparitions forcées perpétrés par le groupe houthiste soutenu par l’Iran contre des journalistes, des professionnels des médias et des militants yéménites, appelant la communauté internationale à adopter une position claire qui équivaut à l’ampleur de ces crimes et violations et à faire rendre des comptes aux auteurs de ces actes.

Violations persistantes

Ahmed Jabbari, analyste yéménite et militant des droits humains, a déclaré que la milice terroriste houthie commettait diverses violations et crimes odieux contre les journalistes enlevés dans ses prisons depuis maintenant sept ans. Ces violations constituent des crimes de guerre qui ne tombent pas sous le coup de la prescription.

L’analyste politique yéménite a ajouté que les violations commises par la milice houthiste contre les journalistes vont des enlèvements, des meurtres, des déplacements, des disparitions forcées, des agressions physiques, des tortures brutales dans les centres de détention, l’occupation d’institutions médiatiques, des menaces, le blocage de sites d’information, l’interdiction de couvrir l’actualité, la publication de règlements et d’instructions répressifs, le pillage des biens des médias, la confiscation des biens et des biens des journalistes, les poursuites judiciaires, et l’arrêt des salaires des médias et leur suspension du travail.

Il a souligné que la milice Houthi empêchait les proches des journalistes enlevés dans ses prisons de rendre visite à leurs proches, et leur refusait le droit de communiquer avec eux, et l’absence d’un minimum de services de base, en plus de la torture physique et psychologique, et le refus de traitement ou le renvoi des journalistes à l’hôpital d’une manière claire et honnête pour mettre leur vie et leur intégrité physique en danger.

Mouvement international

Il a appelé la communauté internationale, les Nations Unies et toutes les organisations de défense des droits de l’homme, en particulier celles qui s’occupent de la liberté de la presse et des médias, à soutenir les journalistes yéménites dans leur confrontation avec la bande la plus laide qui soit contre la presse et les médias, à moins que d’autres groupes violents ne commettent ces actes.

Reporters sans frontières et d’autres organisations ont classé la milice houthiste comme le deuxième groupe le plus important au monde après l’EI en termes de violations et de crimes contre les journalistes. Cependant, la communauté internationale et les organisations qui s’occupent de la liberté d’opinion et d’expression n’ont pas déployé les efforts nécessaires pour faire pression sur la milice houthiste afin qu’elle libère les journalistes enlevés dans ses prisons, malgré la torture et les mauvais traitements qu’ils subissent depuis sept ans, et qu’elle considère ce dossier comme humanitaire, et le journalisme n’est pas un crime.

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