Commandant des Forces combinées : Les violations flagrantes des initiatives de paix commises par les rebelles Houthis
Le commandant des Forces combinées au Yémen a accusé le général Motlaq ben Salem Al-Azaimaa, le groupe terroriste des Houthis, d’avoir rencontré toutes les initiatives de paix et de chercher à calmer les tensions par des violations « flagrantes », soulignant que les violations des milices iraniennes avaient été commises sous un regard du monde extérieur.
Le commandant des Forces combinées, le général Motlaq Ben Salem Al-Azaimaa, a énuméré les actions du groupe terroriste des Houthis pendant 16 mois, au cours desquels la coalition « Soutien à la légitimité » au Yémen a décidé de cesser ses frappes en prélude à l’initiative de paix.
À l’issue de sa visite d’hier, Al-Azaimaa a déclaré aux unités postées à la frontière sud de l’Arabie Saoudite par les forces armées et les forces de la coalition de soutien à la Charia au Yémen, selon l’agence de presse officielle saoudienne Waas : « La Coalition de soutien à la légitimité au Yémen a décidé, le 1er Septembre 2020, d’offrir toutes les chances de paix, d’instaurer la confiance, d’améliorer l’atmosphère, en mettant fin à huit mois de frappes aériennes contre toutes les villes et tous les camps, quelles que soient les provocations et les agressions, et en ne réagissant pas à ces attaques, en prélude à l’initiative de paix saoudienne, pour mettre fin à la crise au Yémen et parvenir à une solution politique globale, qui a été approuvée par le monde épris de paix.
Les milices des Houthis ont tiré au total 109 missiles balistiques sur des biens de caractère civil et les civils, tiré 414 avions de combat sur des biens de caractère civil et des civils, tiré 52 cuirassés et planté sans discernement 110 mines marines au Sud de la mer Rouge et dans le détroit de Bab-el-Mandab, et pris pour cible les aéroports civils comme l’aéroport international d’Abha, l’aéroport Najran l’aéroport du Jizan, ainsi que les stations de dessalement des eaux salées, les réservoirs d’Aramco les installations civiles de Riyad et de Dammam, ainsi que toutes les villes frontalières de l’Arabie Saoudienne.