Moyen-Orient

Avec des preuves accablantes… le plan de l’Iran pour inonder l’Irak de drogues


Un régime répressif en pleine crise, tant sur le plan interne qu’externe, bien plus que ce que l’on peut imaginer. À tel point qu’il a fait l’objet de sanctions internationales de la part des États-Unis et de l’Union européenne. L’Iran commet un certain nombre de crimes dans les pays arabes, dont le plus important est l’inondation de ces pays par les drogues.

Le royaume iranien du Captagon

Le royaume iranien du Captagon exporte des drogues vers l’Irak, ce qui nuit considérablement à l’État arabe frontalier de l’Iran. Les cuisines des Gardiens de la révolution iraniens sont les principales sources de financement pour les éléments du régime iranien et les camps d’entraînement des Gardiens.

Les taux de consommation de drogues parmi les différents segments de la jeunesse ont atteint des niveaux alarmants, en particulier chez les étudiants universitaires et scolaires, ainsi que chez les chômeurs.

La mafia des armes, des drogues et du blanchiment d’argent en Europe, en Afrique, en Amérique latine, au Pakistan, en Afghanistan et récemment en Irak a été révélée dans des documents diplomatiques divulgués par WikiLeaks en 2014, indiquant que l’Iran est l’un des plus grands trafiquants de drogue au monde.

L’Iran, le plus grand acheteur d’opium afghan

L’Iran est le plus grand acheteur d’opium afghan et l’un des plus grands producteurs d’héroïne au monde. On a observé une augmentation des opérations de trafic de drogue vers les pays du Golfe et plusieurs pays arabes et islamiques au cours des cinq dernières années.

En juillet 2005, le Comité national irakien de lutte contre la drogue a annoncé que « l’Iran est la principale source de trafic de poison blanc en Irak ».

L’Irak se noie dans les poisons de l’Iran

Selon des sources informées, 90% des drogues à l’intérieur de l’Irak proviennent de l’Iran, un fait reconnu par l’appareil de sécurité local.

Les sources ont ajouté que des gangs criminels professionnels opèrent le long de la frontière commune entre l’Irak et l’Iran, se livrant à des opérations de contrebande de différents types de drogues. On pense que la contrebande de drogue est un complot visant à créer un fléau qui menace le système social et accroît les charges de sécurité.

Récemment, la Direction de lutte contre la drogue et des substances psychotropes du ministère de l’Intérieur irakien a révélé un décompte officiel, qui a conduit à l’arrestation de plus de 17 000 personnes impliquées dans la consommation et le trafic de drogue en Irak en seulement 22 mois.

Il convient de noter que le Bureau des Nations Unies contre la drogue et le crime a été explicite dans un rapport publié l’année dernière, affirmant que la méthamphétamine cristalline est désormais considérée comme la drogue la plus dangereuse et la plus répandue en Irak. Le rapport a mis en garde contre le fait que ce type de drogue est maintenant fabriqué clandestinement en Irak, après avoir été précédemment contrebandé depuis l’Iran.

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