Analyste tunisien : Les Frères musulmans connaissent des confusions, des crises et vivent dans un état d’illusion
Dans le cadre d’un mouvement en faveur d’un nouveau complot des frères en Tunisie pour influencer l’état de stabilité et tenter de dénaturer les États tunisiens, il a lancé un appel des Frères qui, selon les observateurs, ne trouvera pas d’écho sur la scène politique tunisienne, ce qui soulève des questions sur ses implications.
Terrorisme des Frères musulmans
Le nouveau président d’Ennahdha, Mondher Al-Ounissi, a appelé à la tenue d’élections présidentielles anticipées, faisant observer que sa faction politique ne pouvait être pratiquement dépassée.
Les observateurs pensent qu’il pourrait être un test pour évaluer la réaction du groupe face à la perspective d’une participation aux élections prévues pour l’automne prochain, et pensent également que le mouvement souhaite envoyer un message à la présidence tunisienne, indiquant qu’il est prêt à revenir à la scène politique et à reconnaître la légitimité des actions du président tunisien Kaïs Saïed, qui a dissous le Parlement des Frères musulmans et a apporté des amendements à la Constitution du pays lors d’un référendum populaire.
Tentatives infructueuses
Mondher Guefrach, analyste politique tunisien, a affirmé que « Le Mouvement des Frères Ennahdha vit dans le délire. Malgré la fermeture de tous ses sièges dans divers gouvernorats et son interdiction légale d’organiser des réunions et l’arrestation de tous ses dirigeants éminents, il parle encore de l’ampleur de sa fausse popularité, soulignant que le mouvement des Frères musulmans est confronté à des affaires criminelles capables de mettre fin à son existence, notamment le renseignement, le complot, le terrorisme, les assassinats politiques et l’espionnage ».
L’analyste politique tunisien a ajouté que « le président Kaïs Saïed tiendra l’élection présidentielle à temps et ne sera ni retardée, ni retardée. La tentative des Frères pour organiser des élections anticipées est une tentative d’exacerber la situation en Tunisie et de semer le chaos dans le pays ».