La Commission Nationale des Droits de l’Homme des Émirats.. Une vision sublime couronne le Jubilé d’or
La création d’une commission nationale des droits de l’homme a été l’aboutissement des efforts pionniers déployés par les Émirats arabes unis pour promouvoir et améliorer durablement la situation des droits de l’homme.
Les efforts qui s’inscrivent dans le cadre éthique et humanitaire des Émirats arabes unis sont une oasis pour l’humanité, un phare pour la tolérance, un pays pour la sécurité et la dignité qui protège la dignité humaine et promeut les valeurs et les principes de tous les pays du monde.
Le Président des Émirats arabes unis, Sheikh Khalifa ben Zayed Al Nahyane, a promulgué la loi fédérale no 12 de 2021 sur l’Autorité nationale des droits de l’homme.
L’adoption de la loi coïncide avec le Jubilé d’Or des Émirats arabes unis en 1971 et confirme la politique de respect des droits de l’homme en vigueur depuis sa création, qui est considérée comme un élément fondamental des valeurs et principes de la société des Émirats arabes unis.
Il fonde également son objectif de promouvoir et de soutenir les droits de l’homme dans les Émirats arabes unis dans les 50 prochaines années.
La création de l’organisation s’inscrit dans la vision des Émirats, qui considèrent l’homme comme la richesse réelle et permanente de la nation et la ressource la plus précieuse qu’il convient de promouvoir en permanence. Ils ont donc cherché à garantir ses droits et libertés et ont rédigé de nombreuses lois constitutionnelles pour garantir ses droits civils et politiques. Ils ont également intégré dans leur Constitution et leurs lois les principes des droits de l’homme consacrés dans la Charte des Nations Unies et la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Loi portant création de la Commission
La loi fédérale no 12 de 2021 porte création d’un organe indépendant dénommé »Autorité nationale des droits de l’homme », dont le siège est à Abou Dabi et qui peut ouvrir des bureaux et des bureaux dans d’autres Émirats.
La personne morale indépendante jouit de l’indépendance financière et administrative dans l’exercice de ses fonctions, activités et compétences.
La Commission est dotée d’un conseil d’administration comptant au moins 11 membres, y compris le Président, dont la moitié au moins doivent siéger à plein temps et qui, sur décision du chef de l’État, définit le mécanisme de sélection des membres de l’Organe, en tenant compte, dans leur sélection, des fonctions de conseillers, universitaires, d’institutions de la société civile et de spécialistes et professionnels à titre personnel, compte tenu de la représentation adéquate des femmes. Le mandat du Conseil est de quatre ans, renouvelable une fois.
Fonctions de la Commission
L’organisation a pour but de promouvoir et de protéger les droits et les libertés de l’homme, conformément à la Constitution et aux lois en vigueur aux Émirats arabes unis et aux conventions, pactes et conventions internationaux pertinents.
Les fonctions de la Commission comprennent, sans s’y limiter, la participation avec les autorités et autorités compétentes à l’élaboration d’un plan d’action national pour la promotion et la protection des droits de l’homme dans l’État, la proposition d’un mécanisme pour sa mise en oeuvre, la promotion d’une culture des droits de l’homme et la sensibilisation des membres de la société à ce sujet, y compris la tenue de séminaires, de conférences et de tables rondes sur les droits de l’homme, la présentation de propositions, de recommandations et de conseils aux autorités et autorités compétentes sur tout ce qui pourrait protéger et promouvoir les droits de l’homme et leur suivi, la présentation de propositions aux autorités compétentes sur l’adéquation de la législation et des lois aux chartes, pactes et accords internationaux sur les droits de l’homme auxquels l’État fait partie et le suivi. En plus de surveiller toute violation ou violation des droits de l’homme, en vérifiant leur validité et en les signalant aux autorités compétentes, en plus de participer aux forums internationaux et régionaux concernés par les droits de l’homme.
Objectifs multiples
La Commission est créée en vertu des Principes de Paris, dans lesquels les institutions nationales des droits de l’homme créées en vertu des Principes de Paris sont considérées comme des organes officiels créés par les États et ont pour mandat de promouvoir et de protéger les droits de l’homme.
Ces organes jouissent d’une indépendance financière et administrative dans l’exercice de leurs fonctions, activités et compétences et leurs travaux sont guidés par l’esprit des Principes de Paris des institutions nationales des droits de l’homme de 1993.
La création par les Émirats arabes unis de cet important mécanisme s’inscrit dans le cadre de l’effort qu’ils déploient pour renforcer et développer leur infrastructure institutionnelle en matière de droits de l’homme, en vue de renforcer la position de l’État et de mettre en relief son rôle dans le domaine des droits de l’homme au niveau international.
Lors de l’élaboration du projet de loi portant création de l’Autorité, l’État a tenu compte des meilleures pratiques mondiales et de l’expérience des États qui ont créé des organes similaires.
L’État a également tenu compte de l’avis et des conseils d’un certain nombre d’experts internationaux, dont la plus importante est la coopération avec le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, qui a fourni une assistance technique et des conseils juridiques sur le projet de loi, dont les articles sont conformes aux Principes de Paris relatifs aux institutions nationales des droits de l’homme.
Les 50 prochaines années
L’adoption de la loi coïncide avec le Jubilé d’Or des Émirats arabes unis en 1971 et confirme la politique de respect des droits de l’homme menée par l’État depuis sa création.
En même temps, il fonde son objectif de soutenir et de promouvoir les droits de l’homme dans les Émirats arabes unis dans les 50 prochaines années, où le C2071 vise à devenir le meilleur et le plus avancé pays du monde.
Depuis sa création, les Émirats ont accordé la plus haute priorité aux valeurs du respect des droits de l’homme, qui découlent de leur patrimoine culturel, de leur Constitution qui garantit les libertés civiles pour tous, de leur système législatif qui promeut les principes de justice, d’égalité et de tolérance, du respect des droits et de l’appui à l’action humanitaire et à l’action humanitaire conformément aux principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Ces efforts ont abouti à la création de la Commission nationale des droits de l’homme, qui a été maintenue grâce à la création d’un Ministère de la tolérance et de la coexistence, à l’élaboration de politiques et de lois visant à protéger les droits des travailleurs et des enfants, des femmes, des personnes de détermination, des détenus et des personnes âgées, et à la contribution régionale et internationale à la lutte contre le phénomène de la traite des êtres humains.