Frères du Yémen incitent à l’échelle internationale contre le Conseil de transition du Sud… Détails
Récemment, on a assisté à une confusion sans précédent au sein du Parti de la Réforme, bras armé des Frères musulmans au Yémen. Cette confusion découle de son exclusion du gouvernement légitime et de la perte de nombreuses zones autrefois sous son contrôle militaire.
Hier, le Parti des Frères a signé des accords avec les milices houthis terroristes, annonçant qu’il avait accepté de faire partie du prochain gouvernement. Aujourd’hui, ils tentent d’inciter la communauté internationale, en particulier les États-Unis, contre le Conseil de transition du Sud.
Selon des sources médiatiques, le Parti de la Réforme yéménite a demandé à l’ambassadeur américain de diriger la politique américaine pour limiter les capacités militaires des forces du sud et travailler à miner leur indépendance.
Les médias se faisant le porte-parole du Parti de la Réforme ont révélé que la délégation du parti, dirigée par le chef du bloc parlementaire, le député Abdul Razzaq Al-Hajri, a demandé lors de leur réunion avec l’ambassadeur américain il y a deux jours ce qu’ils ont appelé « l’intégration des formations militaires dans les zones légitimes sous la direction des ministères de la Défense et de l’Intérieur ». Il s’agit d’une référence claire aux forces du sud présentes sur le terrain dans le sud et les zones libérées.
Selon les mêmes sources, le Parti de la Réforme a affirmé la nécessité de désarmer les rebelles houthis et de parvenir à une solution politique conformément aux (3) références.
Le Parti de la Réforme a appelé la communauté internationale, dirigée par les États-Unis, à jouer son rôle en exerçant une pression sur le groupe houthi pour le pousser vers la paix, malgré toutes ses pratiques confirmant qu’il s’agit de « milices qui ne croient pas en la paix et travaillent à mettre en œuvre les projets de l’Iran dans la région », sans aborder les accords politiques et militaires signés par le Parti des Frères avec les milices putschistes soutenues par l’Iran.