Moyen-Orient

Lors des Premières Pluies… Les routes de Beyrouth confrontées à des inondations destructrices… Détails

Beyrouth confrontée à des inondations destructrices


Le Liban est confronté à une crise sans précédent, différente de tout autre pays sur Terre, avec une corruption généralisée et l’impact du changement climatique frappant le pays. Il y a une préoccupation significative au Liban que la situation puisse atteindre des niveaux similaires à ce que Derna a récemment connu.

De violentes inondations ont frappé Beyrouth, perturbant la circulation et transformant certaines routes en rivières en raison du déluge soudain qui a frappé le pays de manière inattendue.

Rues submergées sous l’eau

Les eaux de pluie ont envahi plusieurs régions au Liban et ont transformé certaines routes en rivières débordantes emportant des véhicules, ce qui a interrompu la circulation. Tanius Paulus, le Directeur Général des Routes et des Bâtiments au Ministère des Travaux Publics et des Transports, a déclaré : « Les équipes du ministère travaillent régulièrement pour résoudre les problèmes routiers, et aujourd’hui nous sommes confrontés à un problème de canalisations obstruées en raison de l’abondance des déchets. »

Paulus a expliqué que l’état des routes relevant du ministère était bon, tandis que les routes ayant connu des inondations se trouvaient en dehors de la responsabilité du ministère.

Il a souligné que le Ministère des Travaux Publics était responsable des autoroutes, de la rivière Ghadir, et de l’autoroute internationale du nord au sud.

Beyrouth devient un lac

Des images et des vidéos se sont répandues sur les réseaux sociaux en provenance de diverses régions libanaises montrant les conséquences de la destruction causée par les pluies du matin de mercredi.

L’eau s’est accumulée en énormes flaques sur les rues de la capitale, immobilisant des voitures depuis le matin avant que les équipes de maintenance appartenant au Ministère des Travaux Publics n’interviennent pour nettoyer les canaux de drainage et faciliter l’écoulement des eaux de pluie. Les citoyens ont exprimé leur frustration face à cette situation annuelle récurrente.

Paulus a abordé la question de Naameh, qui relève du champ d’action du Ministère des Travaux Publics, en soulignant que le problème est survenu parce que la route a été établie sans tenir compte du cours d’eau.

Paulus a souligné que la responsabilité et la compétence du Ministère des Travaux Publics relevaient du champ d’action de l’autoroute internationale, tandis que l’eau provenait d’une distance de 6 à 7 kilomètres des hautes montagnes. La responsabilité dans ce cas incombe à la partie qui a transformé le cours d’eau d’hiver en route sans tenir compte des normes de sécurité publique et des normes techniques pour sécuriser un cours d’eau jusqu’à la mer. Certaines routes libanaises ont connu une circulation très active et des embouteillages importants.

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