Grand Maghreb

Ennahdha – Des demandes dans la rue tunisienne pour liquider le mouvement politiquement et le dissoudre définitivement


Les revendications sur la rue tunisienne concernant la nécessité de liquider politiquement le mouvement Ennahdha parce que ce que certains ont considéré comme étant à l’origine des tensions dans le pays, le mouvement Ennahdha, confronté à un destin inconnu, et les observateurs locaux sont plus susceptibles de parvenir à une solution définitive et d’interdire toute activité. Les poursuites judiciaires et sécuritaires qui lui ont été intentées depuis des mois ont conduit à la mise en prison de ses dirigeants, dont le président Rached Ghannouchi, pour crimes terroristes graves, conspiration contre la sécurité de l’État et préparation d’un coup d’État contre le régime.

Soupçons et accusations

D’après un rapport du réseau Roaya, Rached Ghannouchi, chef du mouvement terroriste Ennahdha, est confronté à des soupçons et à des accusations concernant d’autres questions touchant à la sécurité nationale de la Tunisie, ainsi qu’à des soupçons de recevoir des fonds de l’étranger, et est officiellement accusé de complicité dans ce qu’on appelle les « assassinats politiques » ou dans la chambre noire du Ministère de l’intérieur.

Crises multiples

Mondher Guefrach, l’analyste politique tunisien, explique que le mouvement Ennahdha doit faire face à de nombreuses crises, et que l’un des plus importants d’entre eux dans les milieux politiques est l’appel à la dissolution du mouvement Ennahdha après qu’il ait été officiellement décidé de fermer tous ses sièges, y compris son siège central au centre de la capitale, et de l’empêcher d’exercer ses activités dans l’ensemble du pays.

Le mouvement doit être résolu

L’analyste politique tunisien a ajouté que les partisans du mouvement réformiste dirigé par le président Kaïs Saïed continuaient à exiger la dissolution du mouvement Ennahdha, l’interdiction des Frères musulmans de toute activité politique et la mise en cause de tous ceux qui étaient impliqués dans des crimes liés au terrorisme, à la corruption et au pillage des biens publics depuis le renversement de l’ancien régime en 2011.

Il a ajouté que le Mouvement connaît des conditions inconnues, en particulier du fait de l’affaiblissement de ses partisans et de la perte de sympathie qu’il a ressentie dans certains milieux populaires, sous les présidences de Habib Bourguiba et de Ben Ali, et souligne que, dans les crises qu’il traverse, la plupart des personnalités influentes des Frères tunisiens sont cachées derrière les barreaux, dans l’attente de leur comparution devant les tribunaux, après l’établissement des actes d’accusation, à la lumière des résultats des enquêtes et des enquêtes sur les documents et les documents.

Afficher plus

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page