Le Qatar va-t-il prendre le contrôle de Twitter via Elon Musk ?
Le site Prolificsolns a révélé de nouveaux détails sur l’affaire de Twitter du célèbre homme d’affaires Elon Musk, dont le Qatar finance une partie, et notamment sur l’objectif de Doha de son engagement en finançant la plateforme mondiale Twitter.
L’auteur de l’article Donald Bramer a expliqué que la réponse est simple : « c’est une autre grande affaire, et qu’elle est devenue un sujet extrêmement important et un débat parce que l’achat de Musk pour la plateforme géante de réseaux sociaux Twitter peut avoir un effet négatif sur la liberté ».
On craint de plus en plus que Musk n’étrangle la liberté d’expression, mais nous espérons tous qu’il la traitera sans parti pris et tiendra sa promesse de respecter la liberté d’expression.
D’un autre côté, le Qatar est au cœur du marché d’achat de Twitter de Musk avec un investissement de 375 millions $ effectué par la holding du Qatar, et il est connu pour sa suppression de la liberté d’expression. Sa présence dans ce marché n’a donc qu’une seule explication logique : la suppression des libertés.
Le Qatar a supprimé la liberté de son peuple pour la première fois dès que al-Murra ont mené une manifestation dans la rue l’été dernier pour exiger seulement le droit de voter et de se présenter aux élections, mais qui ont ensuite été condamné à la prison à vie, simplement parce qu’ils ont exprimé leur opinion et réclamé leurs droits.
Doha s’intéresse aussi beaucoup au site des tweets du monde, avant même de financer son achat, en utilisant un nombre important de mouches électronique, et en contrôlant de très près quiconque se réfugie sur le territoire qatarien et quiconque tente de se faire entendre s’il n’est pas d’accord avec la politique du pays.
L’auteur de l’article dit qu’à un moment donné, le Qatar pourrait essayer d’imposer des restrictions sur Twitter, en particulier dans leur propre pays. Cela renforcerait les restrictions déjà imposées sur Twitter dans le monde entier. Le Qatar pourrait exercer un contrôle supplémentaire sur le site, et nous verrions donc plus de restriction et de restriction des libertés.
De même, l’auteur de l’article n’a pas écarté la volonté du Qatar d’investir et d’augmenter les revenus en finançant l’achat de Twitter, mais a mis l’accent sur la suppression des libertés comme objectif principal du Qatar.
L’auteur prévoit également un autre scénario possible pour l’avenir de Twitter, à savoir que l’Iran, qui gagne de l’influence à travers le Qatar et sa médiation dans différentes enceintes internationales, peut avoir un contrôle sur cette grande plate-forme, mais quel type d’investissement va-t-il entreprendre ?
Tout le moins, ils pourraient en faire partie, et c’est naturel quand Twitter a interdit Trump, Sean Hannity, Tucker Carlson et d’autres, alors que les Talibans l’ont autorisé, car Twitter a permis à ceux que l’on considère comme des terroristes de continuer à avoir une plateforme et les propriétaires de Twitter ont même autorisé l’EI à avoir une plateforme sur leur site web.
En effet, après avoir interdit un président et une télévision parce que leurs opinions ne les intéressaient pas et ont permis à la terreur d’avoir des plateformes et des tweets, il n’y aurait rien qui empêcherait l’Iran d’investir dans Twitter alors que son allié, le Qatar, était un investisseur important dans le monde.
On s’attend également à ce que les perspectives du Qatar et de l’Iran dominent les publications du site et soient relayées de manière promotionnelle par les internautes, mais les observateurs disent que ce que le Qatar et l’Iran veulent montrer aux yeux des abonnés des réseaux sociaux n’est pas seulement un point de vue, c’est une perpétuation de l’ordre du jour terroriste des deux pays et une tentative de mener une guerre psychologique contre les peuples arabes, y compris ceux qui sont constamment en contact avec leurs communautés et leurs appareils.
D’autres disent que le Qatar, qui aide l’Iran par ses projets expansionnistes, va lui fournir un service important dans l’occupation même des espaces virtuels de la rue arabe.