Les déclarations de Hamad Bin Jassim révèlent les mensonges de Doha et les conspirations de subversion de l’Irak
Le régime qatarien et tous ceux avec lesquels il a travaillé ont toujours cherché à semer la discorde et à promouvoir des mensonges et des allégations afin d’améliorer leur image de longue date auprès de tous les États, en tant qu’État qui ne souhaite rien au mieux à aucun des pays voisins.
L’ancien Premier Ministre qatari, Hamad ben Jassim Al Thani, a pris part à un entretien de presse pour faire connaître ses mensonges et ses appels incessants sur de nombreuses questions politiques et publiques que le monde a connues ces dernières années.
Arrêter l’exécution de Saddam
Dans une série de mensonges, Ben Jassim répétait que Doha avait essayé d’arrêter l’exécution de Saddam Hussein, le président irakien, par l’intermédiaire de l’Égypte.
Au cours d’une longue interview publiée par la presse écrite Al Qabas du Koweït, Ben Jassim a dit qu’il avait demandé à l’ancien Prince Hamad ben Khalifa Al Thani d’entrer en contact avec le Président égyptien Hosni Moubarak afin d’intervenir auprès de l’ancien Président américain George W. Bush et de mettre son poids politique et régional sur la question afin de faire cesser l’exécution.
Ben Jassim a ajouté : Il avait déjà contacté le président égyptien, et avait accepté de servir de médiateur à Washington pour obtenir un moratoire sur l’exécution par tous les moyens.
En effet, feu le président égyptien a appelé son homologue américain George W. Bush à l’époque et l’a informé que la question de l’exécution pouvait soulever des indignations dans les rues arabes, que les atmosphères étaient tendues, surtout qu’il était incarcéré et qu’il n’y avait pas besoin de faire l’exécution, et que Bush avait refusé d’exécuter la sentence.
Les forces américaines ont exécuté Saddam Hussein après avoir été reconnu coupable par un tribunal irakien pour plusieurs crimes passibles de la peine de mort, et il a été exécuté le 30 Décembre 2006, jour de l’Aïd al-Adha, sur le thème de l’immigration.
Paradoxe de Ben Jassim
Dans le dialogue, Hamad Ben Jassim se contredit lui-même par des allégations et des mensonges éhontés contre de nombreux pays et certaines causes, révélant ainsi les projets qataris. De plus, Hamad Ben Jassim n’a mentionné aucun des crimes de Doha et son soutien à l’extrémisme ces dernières années.
Les Mensonges de Ben Jassim contre la Palestine
L’auteur et analyste palestinien Hassan Asfour a révélé les mensonges de Ben Jassim sur la Palestine : L’ancien Premier ministre qatarien, Hamad Ben Jassim, a ouvert son propre dossier sur la question palestinienne. Après avoir demandé en mai 2021 la démission du président Abbas et la nécessité de créer une nouvelle direction palestinienne jeune; un centre d’études qataries a financé la campagne médiatique sous divers slogans pour promouvoir le plan B de Ben Jassim, avant de reculer sous la pression, Ben Jassim revient pour dire des mensonges.
Dans un long article, il a ajouté : Dans un épisode de ses épisodes avec un programme qu’il appelle « la Boîte noire » le 14 février 2022, Ben Jassim a dévoilé que son bureau a été l’occasion d’une rencontre entre des Palestiniens et des Israéliens pour examiner comment mettre fin à Yasser Arafat en 2002, au bout d’un moment, ils lui ont dit alors qu’il n’était pas nécessaire, et il a annoncé la maladie de Yasser Arafat.
Il a poursuivi : Ben Jassim, sans préciser de détails sur les personnalités qu’il a accueillies (certainement ses amis du Qatar, et non ses opposants, et ils sont connus par leurs noms pour presque tous les Palestiniens), a suggéré qu’il a participé à une conspiration contre Yasser Arafat et son pays, centre d’étude des arrangements spéciaux pour l’après-Arafat, comme l’a demandé le nouveau président américain George W. Bush (Ben Jassim a admis dans un épisode qu’il était son ami avant de devenir président), lorsqu’il a exigé en juin 2002 la nécessité d’un « commandement alternatif pour Yasser Arafat », l’Occident et certains de ses outils arabes et hébreux ont commencé à le promouvoir.
La confession de Ben Jassim comme complice de la conspiration contre Yasser Arafat révèle son rôle principal dans la préparation de la conspiration séparatiste dans la scène palestinienne, ainsi qu’une demande américaine, comme on l’a vu dans les précédents discours.